2 Février 2006
Le sac que portait la femme ayant aboyé à plusieurs reprises, nous en avons conclu qu'il ne contenait pas que des vêtements comme elle le prétendait.
L'homme n'ayant pas d'argent sur lui, nous l'avons sommé de nous régler immédiatement la totalité des sommes dues au titre des taxes diverses.
Ses explications ne nous paraissant pas très claires, nous avons sommé l'homme de parler français sous peine d'amende.
L'homme est mort avant de passer les contrôles douaniers, vraisemblablement pour n'avoir pas à nous présenter ses papiers.
Plus l'homme cherchait à nous donner des explications sur son geste, plus nous avons compris qu'il ne parlait pas la même langue que nous.