23 Novembre 2006
La tempête fait de nouveau rage.
La tente se gonfle comme une mongolfière.
Je ne pense pas qu'elle puisse prendre la poudre d'escampette, nous en serions bien esbaudis. Son ancrage au sol est particulièrement bien assuré et ses velléités d'envol ne peuvent prendre forme.
Là je me dis "bravo". Il fallait les caser, c'est fait.
=====>Ce doit être le résultat d'une nuit sans sommeil, il vient de ces idées et des mots bizarres qui sont sûrement le fruit du cerveau reptilien. Mon cerveau limbique quant à lui me recommande plutôt d'aller me coucher et d'arrêter de faire le Zouave. Ce sera chose faite dès que la relève pointera le bout de son nez.
En tout cas il fait toujours aussi froid et dehors ça ne s'arrange pas. Même les "20 mètres carrés" (voir mon article précédent "Après la tempête, le calme") sont déprimés et ont remis leurs vestes.
Allez A+