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Se laisser guider par le hasard, aller au gré des images, des ruelles, des sentiers et des rencontres. Ouvrir les yeux, le coeur et l'esprit.

Fait divers

Le voleur avait forcé la caissière d'un bookmaker à lui remettre 600 livres, environ 900 euros, en la menaçant avec ce qui ressemblait à une arme dissimulée dans un sac plastique. Mais il ne s'agissait en fait que du vibromasseur, modèle "Lapin galopant", qui appartenait à son amie.

Ce qui précède est authentique , c'est un extrait d'agence de presse  sur un fait divers survenu  en Angleterre (si je me rappelle bien) il y a plusieurs semaines.

L'interprétation qui suit est tout à fait personnelle et n'engage que moi...

Pour ma part il ne peut que s'agir d'un drame de l'illettrisme et en voici l'explication.
Ce pauvre gars, issu d'un milieu de la haute bourgeoisie, a eu une enfance très malheureuse. Balloté de nourrice en nourrice, obligé de suivre des cours particuliers après l'école où ce sont les professeurs qui, pour justifier leurs salaires, lui faisaient ses devoirs. N'ayant aucun besoin et tous ceux exprimés étant immédiatement satisfaits il n'a éprouvé aucun besoin quant à la lecture et encore moins pour l'écriture.
Etudes secondaires d'écoles privées en écoles privées et dans la même lignée le voici le bac en poche...

Malheureusement l'entrée dans la vie active il l'a voulue par la petite porte et le voici obligé de se débrouliier seul, face à l'adversité.
C'est alors qu'il rencontre une jeune femme avec laquelle il veut vraiment faire sa vie. Seulement voilà, par pudeur et même par honte il ne lui avoue pas qu'il ne sait pas lire. Et c'est alors que (ah la jeunesse) il lui offre le fameux équipement vibrant mais, pauvres innocents qu'ils sont, aucun des deux n'en maîtrise le maniement et elle pudiquement lui demande d'en lire le mode d'emploi.
Désemparé il décide de chercher de l'aide et selon lui qui mieux qu'une femme pourra l'aider.
C'est donc en désespoir de cause qu'il se rend dans ce bureau, qui s'avère être celui d'un bookmaker, il veut montrer l'objet de son tourment à la brave dame derrière son comptoir et là... c'est le drame.
Méprise sur les intentions du jeune homme, la femme pense qu'il s'agit d'un braquage et veut lui donner l'argent.
Lui, terrorisé par les hurlements hystériques commet l'irréparable. Il prend l'argent et s'enfuit...
Et voilà comment d'un petit problème social on en vient à une tragique erreur judiciaire.
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C
Ben dis donc, ça t'a requinqué les vacances!Tu redémarres sur les chapeaux de roue, ça fume! Herbe, cannabis, moquette? :0036:Bonne semaine AlphoBisous :0010:
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A
Mais les trois mon général!Bonne semaine et en attendant... bonne soirée
Q
Ben oui... J'aime assez la fin que tu donnes à l'histoire. Merci.
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A
Un zeste d'imagination et une bonne dose de délire permettent de voir la vie autrement...
G
Du coup, je me demande si on va obliger les gens qui font leur marché dans les sex-shops à être titulaires d'une autorisation du port d'arme, maintenant... Va t-on définitivement sonner le Big Ben du petit commerce?:-D
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A
Plutôt un test pour savoir lire... :-D
S
lolGum a bien signalé ton sens de l'humour. :)A-t-elle oublié ton imagination galopante ? N'a-elle pas ?lolGros bisous, Alpho !
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A
Qui moi? de l'imagination? Mais où vas-tu chercher cela?