Rédigé par alphomega et publié depuis
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La grippe aviaire respectera-t-elle nos frontières aussi bien que l'avait fait le nuage radio actif de Tchernobyl?
C'est une question que tous nos experts se posent .
Eh oui, comme tout ce qui est petit, voir même infiniment petit (comme un virus ou un atome) fait peur à juste titre, on a décidé de leur fermer nos frontières.
Combien de temps encore va résister la langue de bois? Je suis sans doute un redoutable pessimiste mais ce qui s'est passé lors de la contamination d'un troupeau par la bactérie du charbon (si je me rapelle bien), où un importateur véreux avait fait venir un animal malade en le faisant transiter par un pays européen, risque fort de se reproduire.
En tout cas j'espère très fort me tromper. Les anciens se souviennent trop bien de la "grippe espagnole" et ses milliers de victimes.
En attendant, que cela ne nous empêche pas de consommer du poulet. D'ailleurs ceux qu'élève ma belle-mère sont excellents.
Bon apétit.